Pourquoi préserver l'environnement commence par ce que nous mangeons

Bonjour c’est Vincent,

J’espère que vous avez passé un bel été. Je suis heureux de vous retrouver, et j’ai pensé à vous :

Cet été, j’ai pris un immense plaisir à cuisiner les légumes, choisis chez Marielle, la maraîchère bio de mon marché préféré. Et j’ai trouvé idées et recettes goûteuses dans un livre qui m’a nourri aussi l’esprit.

Dans « Récits de saveurs familières », le grand écrivain italien Erri De Luca ravive les souvenirs culinaires de son enfance napolitaine. Un voyage gustatif poétique, sensible, savant, lumineux... À la fin de chaque chapitre évoquant un plat, une saveur, un légume ou simplement l’eau et le soleil, il donne la parole à l’un de ses amis, le médecin nutritionniste Valerio Galasso.

C’est passionnant, en voici 3 « take away » :

• Chaque repas, chaque bouchée, influence notre corps, nos gènes, nos bactéries, notre chimie interne, notre santé, notre humeur… nous-même en définitive.

• Une science de l’alimentation se développe à grande vitesse, tous les jours la littérature scientifique s’enrichit de découvertes.

• L’alimentation permet la prévention de nombreuses maladies. Elle soigne aussi (en complément bien sûr de traitements médicaux) inflammations, migraines, pathologies du système nerveux et du métabolisme, tumeurs… Et peut stimuler le système immunitaire en cas de maladies auto-immunes.

On me dit souvent : « J’aimerais bien défendre l’environnement, mais je ne sais pas quoi faire… ». En refermant ce livre, une réponse fuse : en s’intéressant d’abord à ce qui il y a dans notre assiette. « Il faut rechercher la nature dans ce que nous mangeons », nous explique Valerio.

La santé et l’environnement, ça se cuisine !